Éviter le piège du “globish” : 10 raisons de perfectionner son anglais avec Babbel

Parce que parler ”globish” ne sera jamais suffisant, voilà dix raisons qui vous pousseront à perfectionner votre anglais avec Babbel. En tout cas, c’est ce qu’on espère !
10 raisons de perfectionner son anglais pour ne pas tomber dans le piège du globish

Illustration de Olivia Holden (Bright Agency)

For God’s sake! Pourquoi voudriez-vous encore perfectionner votre anglais ? Après tout, vous savez dire « Hello », « Thanks », « Goodbye », et « Where are the restrooms? ». Vous savez vous présenter et discuter météo. Et vous disposez même d’un vocabulaire suffisant pour vous débrouiller en voyage à l’étranger. Mieux encore : vous êtes suffisamment débrouillards pour parler de votre métier, de vos rêves, de vos envies personnelles. Par-dessus tout, vous réussissez à vous faire comprendre partout dans le monde.

Félicitations ! Vous parlez couramment le « globlish ». Le globish, c’est cet anglais hyper-simplifié utilisé aux quatre coins du monde comme langue commune, que les mauvaises langues appellent aussi « broken english » ou « anglais d’aéroport ».

Vous l’aurez deviné, le globish n’a pas bonne presse auprès des linguistes. En effet, cette forme rudimentaire de l’anglo-américain, comme le définit le dictionnaire Larousse, peut vous permettre d’avoir une conversation courante à propos de tout et n’importe quoi (y compris des discussions approfondies sur la religion, la politique internationale, ou le concert de Beyoncé à Soweto) en utilisant un nombre très restreint de mots de vocabulaire.

Autrement dit, même si le globish vous permet de parler d’à peu près tout et n’importe quoi avec très peu de mots, il n’a rien à voir avec l’anglais usuel, qu’il soit américain ou britannique. Voilà 10 raisons qui, nous l’espérons, vous pousseront à perfectionner votre anglais avec Babbel pour ne pas tomber dans le piège du globish intempestif !

1. Pour avoir des conversations plus riches et nuancées

Parce que l’anglais est aujourd’hui la langue qui permet d’échanger avec n’importe qui, n’importe où, dans les hôtels, cafés, auberges de jeunesse des quatre coins du monde, y compris chez vous. Et parce que votre globish se résume souvent aux mêmes questions : « Where are you from? – What is your name? – Where did you travel? ».

Et si vous êtes capables d’exprimer vos sentiments bien franchouillards vis-à-vis de la politique (« oh I don’t like them ») ou, au contraire,vis-à-vis de votre équipe de foot préférée (« they are great »), vous n’aurez pas d’autre choix que de vous plonger dans l’apprentissage de l’anglais pour réussir à expliquer le pourquoi du comment, en détail et – surtout – en nuances. D’autant que l’anglais usuel fait partie des langues qui comptent le plus grand nombre de mots dans le dictionnaire. 

2. Pour donner un nouvel élan à votre carrière

Ce n’est un secret pour personne : aujourd’hui, il est beaucoup plus facile de trouver du travail si l’on parle anglais. Mais, à partir de quel moment peut-on se targuer de « parler anglais » ? L’échelle de référence est souvent celle qui a été développée par le Conseil de l’Europe : le CECR (ou Cadre européen commun de référence pour les langues – en anglais : CEFR, Common European Framework of Reference). Le CECR est composé de 7 paliers allant de A0 (aucune connaissance de la langue) à C2 (bilingue).

Bien souvent, le niveau minimum demandé par les recruteurs est B2, ce qui suppose d’être capables de comprendre parfaitement un texte technique dans votre domaine de spécialité. Et, si vous souhaitez vous installer au Canada ou au Québec, le niveau demandé sera bien souvent C1, voire C2. Perfectionner son anglais est donc indispensable pour satisfaire vos ambitions professionnelles.

3. Pour profiter de la plus importante production culturelle du monde en V.O.

Lire Harry Potter ou Alice au Pays des merveilles dans le texte, c’est s’ouvrir les portes d’un univers de jeux de mots et de références intraduisibles. De quoi redécouvrir tout un imaginaire, car « Life, what is it but a dream ? » (De l’autre côté du miroir, Lewis Caroll).

Ainsi, lire Shakespeare dans sa langue ne permet pas seulement de briller en société, mais aussi de comprendre pourquoi cet auteur est légendaire. Car ses mots ne sont pas uniquement d’une puissance à couper le souffle : ils forment une musique de sons et de rimes, que le meilleur traducteur du monde ne saurait parfaitement reproduire.

4. Pour rire !

Les Anglais sont connus pour leur sens de l’humour décapant… et leurs cousins américains et australiens ne sont pas en reste ! Les comédies (écrites, télévisuelles ou même la production d’auteurs indépendants sur Internet) recèlent de pépites humoristiques. Le globish est souvent déjà assez limité pour comprendre tout l’esprit qui se cache derrière un mème. Alors que dire des dialogues ciselés et des répliques parfaitement ajustées des films et séries télévisées américaines ?

Perfectionner votre anglais vous permettra de rire intelligemment avec The shop around the corner, Some like it hot, 2 broke girls, ou les dialogues de Gilmore Girls… Des écrans de cinéma à la télévision, les scénaristes outre-Atlantique cultivent une passion du bon mot. Et, une fois encore, les traductions françaises ne sauraient reproduire aussi justement leurs dialogues endiablés.

5. Pour l’accent britannique

L’autre grand problème du globish, c’est la prononciation des mots. Les accents indélébiles, qui faciliteront les discussions avec quelqu’un dont l’anglais n’est pas la langue maternelle ; mais qui vous posera peut-être quelques problèmes aux États-Unis, au Canada ou au Royaume-Uni. Et même si l’accent français semble unanimement apprécié, l’accent britannique est autrement plus distingué… et donne une autre saveur au thé.

« You can never get a cup of tea large enough or a book long enough to suit me. » — C.S. Lewis

6. Pour profiter des petits plaisirs de la vie

Parce qu’aller au cinéma en voyage est un petit plaisir, toujours riche d’enseignements sur le pays dans lequel vous vous trouvez. Et qu’il est bon de maîtriser suffisamment l’anglais pour comprendre Mission Impossible avec des sous-titres khmers dans un cinéma de Phnom Penh. À moins de parler khmer bien sûr.

7. Pour les Beatles ou Bob Dylan

Parce que vous n’écouterez plus les Beatles de la même manière après avoir compris les paroles de Piggies ou Strawberry Fields Forever. Le monde musical anglophone ne produit pas seulement des mélodies entraînantes, mais aussi de véritables poèmes, parodies ou pamphlets politiques.

À l’inverse, vous risquez également d’être attérés par la pauvreté des paroles de certains tubes. Mais il y a tant d’autres chansons à texte à découvrir : perfectionner son anglais donne une autre mesure aux textes de Bob Dylan. Découvrez donc pourquoi il a récemment obtenu le prix Nobel de littérature.

8. Pour accéder à un univers de connaissances sur Internet

Prenons l’exemple de Wikipédia : on compte 5 503 434 articles en anglais, contre seulement 2 003 850 en français. Si l’anglais est la langue internationale, elle est aussi l’une des plus utilisées sur Internet. Par conséquent perfectionner votre anglais vous permettra d’accéder à un nombre décuplé d’informations ou d’opinions. D’ailleurs, de nombreux articles de Wikipédia sont plus détaillés dans leur version anglaise que dans leur adaptation française – qu’il s’agisse de l’article sur le papier toilette ou celui sur le Mur d’Hadrien.

9. Pour votre santé cérébrale

Parce que pratiquer une langue étrangère est excellent pour votre cerveau. Selon une étude de l’université de Pennsylvanie, cela permettrait de retarder le déclin cognitif. D’autres études ont d’ailleurs déjà démontré que la pratique régulière de plusieurs langues permettait de repousser l’apparition de maladies dégénératives chez les personnes âgées.

10. Pour la beauté du geste

Parce que l’anglais n’est une langue ni simple, ni simpliste, contrairement aux idées reçues. C’est une des langues les plus riches du monde, avec plus de 200 000 mots recensés dans le dictionnaire d’Oxford (contre 32 000 en français par le Larousse), une foule d’accents et de pratiques différentes, d’expressions imagées (« To be full of beans », ou comment « avoir la pêche » se traduit littéralement par « être plein de haricots ») et de jurons aussi musicaux qu’une formule magique de J.K. Rowling.

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