Qui, quoi, quand, pourquoi ? L'enquête auprès de nos utilisateurs décryptée

  Sur ce blog Babbel, nous ne cachons pas notre amour des lettres. Les mots, après tout, c’est notre travail.   On dit qu’il est bon de sortir parfois de sa zone de confort. C’est pourquoi nous sommes allés nous confronter aux chiffres. De grands chiffres. Nous avons demandé à nos utilisateurs comment ils étudient […]
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Sur ce blog Babbel, nous ne cachons pas notre amour des lettres. Les mots, après tout, c’est notre travail.
 
On dit qu’il est bon de sortir parfois de sa zone de confort. C’est pourquoi nous sommes allés nous confronter aux chiffres. De grands chiffres. Nous avons demandé à nos utilisateurs comment ils étudient avec Babbel, et 45 000 d’entre eux nous ont répondu. 44 584 pour être exact !
 
Nous avons plissé le front, préparé beaucoup de café, sorti nos calculatrices et nous nous sommes mis au travail. Et voici ce que nous avons découvert.
 

Globe-trotteurs

Avec l’avènement des voyages lowcost, les vacances à l’étranger ne sont plus réservées à l’élite. C’est sans grande surprise que la plupart de nos utilisateurs ont cité les voyages comme motivation principale pour étudier une nouvelle langue. Après tout, Babbel sert avant tout à aider les gens à parler les langues étrangères, et il n’y a pas meilleur endroit que l’étranger pour trouver des gens avec qui le faire.
 
Ces explorateurs intrépides y parviennent-ils grâce à Babbel ? Il semblerait que oui ! 70% des utilisateurs affirment se sentir assez sûrs d’eux-mêmes pour maintenir une petite conversation, après moins de cinq heures sur Babbel.
 
Il existe sans doute peu d’apprenants aussi aventuriers que Martin Leonhardt, de Franconie en Allemagne. Nous avons fait le portrait de Martin l’an dernier alors qu’il traversait l’Amazonie brésilienne à moto. « Je veux explorer les cultures étrangères, vivre avec elles et vraiment apprendre à les connaître », nous avait-il dit, « et c’est là que les langues prennent toute leur importance. »
 
Trecking Roraima Backpacker
Bien sûr, l’envie de voir le monde n’est pas la seule raison pour étudier une nouvelle langue. Le développement personnel est le deuxième élément le plus souvent mentionné, suivi de l’amélioration ou du maintien des capacités intellectuelles. Voici l’ensemble des résultats :
 
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Il vaut la peine de clarifier que ces chiffres varient légèrement lorsque l’on tient compte d’autres facteurs. Aux États-Unis par exemple, 13% de nos utilisateurs apprennent une langue parce qu’ils veulent renouer avec leur héritage culturel. Cette réponse a été citée six fois plus souvent qu’ailleurs. Cela prend tout son sens si l’on considère que, même si tout le monde parle anglais, une grande majorité de la population des États-Unis est originaire d’autres pays, et a souvent de la parenté encore en vie.
 

Créer des habitudes

Nous savons maintenant pourquoi nos utilisateurs étudient, mais comment s’y prennent-ils ?
 
La réponse semble être comme ils veulent. Lorsque l’on peut étudier une langue virtuellement n’importe où, quelques minutes par jour, il n’est pas surprenant que les gens adaptent le processus à leur rythme de vie.
 
Il n’y a pas d’utilisateur Babbel type, mais si l’on devait en inventer un, il étudierait probablement :

  • plusieurs fois par semaine (comme 49% des interrogés)
  • plutôt le soir (41%)
  • sur ordinateur (49%)

 
Il serait cependant plutôt flexible par rapport à ses horaires, et étudierait tout simplement lorsqu’il en a envie (comme 67% de nos utilisateurs).
 
Peu importe à quel moment nos utilisateurs étudient, l’important est de garder en tête la consigne suivante : peu et souvent. C’est la clé du succès. La preuve en est que la moyenne de nos apprenants utilise notre app bien au-delà de 12 mois.
 
Bravo, utilisateur type !
 

L’âge n’est qu’un chiffre

Comme nous l’avons déjà indiqué dans d’autres articles, il n’y a aucune raison de ne pas étudier, même à un âge avancé. Il semblerait par contre que la confiance en ses capacités d’apprentissage  se perde un peu avec les années.
 
80% des moins de 24 ans pensent qu’ils peuvent avoir une petite conversation dans leur nouvelle langue après moins de 5 heures passées sur Babbel. Ce pourcentage baisse légèrement pour la catégorie des 25-34 ans, et encore un peu plus pour chaque groupe d’âge par la suite. Pour les 75 ans et plus, le chiffre s’élève tout de même à 61%.
 
Ce qui est toujours plutôt bien, mais la différence vaut la peine d’être mentionnée. L’âge a aussi ses avantages, et les seniors le savent bien. Lorsqu’on atteint un certain âge, on a déjà appris à apprendre. Ceci apparaît clairement dans le fait que les utilisateurs de plus de 55 ans sont beaucoup plus enclins à faire leurs sessions de révisions avec Babbel et à consolider leurs acquis, ce qui facilite grandement le travail d’assimilation.
 
Si vous comptez déjà vos quelques cheveux gris, mais que vous avez encore besoin d’être convaincu, regardez simplement notre ami Gianni. A 100 ans, il étudie l’anglais avec l’enthousiasme d’un adolescent. Il parfait ses connaissances pour mieux pouvoir communiquer avec son arrière petite-fille et sa nounou anglaise.
 
Gianni
Même s’il est vrai qu’au-delà de 70 ans, la carrière professionnelle n’est plus forcément un argument majeur, il existe de nombreux autres aspects très importants. Par exemple, les retraités ont beaucoup plus de temps, ce qui rend les voyages plus accessibles. Et il ne faut pas oublier qu’apprendre une nouvelle langue est un excellent moyen d’activer sa matière grise. Il est prouvé que l’apprentissage d’une langue supplémentaire peut retarder de jusqu’à cinq ans le déclin cognitif dû à des maladies comme Alzheimer ou la démence.
 
Le graphique ci-dessous nous montre comment nos motivations à étudier évoluent au cours de la vie.
 
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Bataille des sexes

Est-ce que les femmes adorent les ragots, peu importe la langue ? Est-ce que les hommes préfèrent lutter dans la boue et le cambouis avec les aspects les plus techniques de la grammaire et de la synthaxe ?
 
Apparemment pas. Il semblerait qu’hommes et femmes aient des résultats plutôt similaires. Hommes et femmes ont la même confiance en leurs capacités d’apprentissages, ont les mêmes motivations à étudier (voyages, développement personnel et exercice intellectuel sont dans le top trois pour tout le monde), et leurs routines sont assez semblables, même s’il faut souligner que les femmes sont un peu plus disciplinées dans leur apprentissage.
 
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Naturellement, nous essayons de diviser les gens en catégories pour le bien des analyses, mais la réalité n’est pas toujours aussi simple. Il est important de relever que certains de nos utilisateurs (0,2%) ont choisi de ne pas s’identifier comme homme ou femme, et les résultats les concernant n’apparaissent donc pas dans cette section. Ils sont, bien entendu, inclus ailleurs.
 

Dernières pensées

Après avoir analysé certains des résultats les plus intéressants que nous ayons reçus, nous vous laissons avec quelques données supplémentaires. Une sorte de foire aux questions en quelque sorte.
 
Quelle est la langue la plus populaire sur Babbel ?
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Quelle est la langue la plus populaire par pays ?
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Quelles langues apprennent les gens qui mettent l’accent sur leur carrière ?
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Et ceux qui sont surtout intéressés par la culture ?
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Les utilisateurs ont-ils des motivations différentes selon les pays ?
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Les utilisateurs sont-ils plus en confiance dans certaines langues ?
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Comment puis-je apprendre une langue sur Babbel ?
Vous pouvez commencer ici.

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