Comment (sur)vivre à l’étranger sans parler la langue ?

Parce que les voyages les plus aventureux sont souvent ceux « en langues inconnues » – et que choisir un plat au resto peut parfois se révéler aussi compliqué qu’escalader le mont Everest, nous vous avons concocté un mode d’emploi illustré pour survivre à cette épreuve.
Vivre à l'étranger, la hantise des cheveux

L’aventure, ça peut être beaucoup de choses. Descendre des rapides en kayak, traverser les steppes mongoles à cheval, grimper tout en haut du Kilimandjaro… Mais ça peut aussi être choisir son plat dans un resto. Quand on regarde le menu et que c’est (littéralement) du chinois par exemple. Parce que les voyages les plus aventureux sont souvent ceux que l’on fait dans un pays dont on ignore tout de la langue, et que vivre à l’étranger est un sacré défi lorsqu’on ne comprend pas les habitants, nous vous avons concocté un petit mode d’emploi illustré pour survivre à cette épreuve.

 

Donc, pour (sur) vivre à l’étranger – surtout si on ne parle pas (encore) la langue –, il faut :

(sur) vivre à l'étranger quand on ne parle pas la langue– Un estomac à toute épreuve

Parce que se sustenter au bout du monde n’est pas une mince affaire. Ni au restaurant, où choisir son plat ressemble parfois à une partie de roulette russe (même quand le menu est par miracle illustré) ; ni au supermarché, où le code-barres est parfois la chose la plus compréhensible indiquée sur l’étiquette des aliments.

– Un sens de l’humour affirmé

Parce que les choses futiles du quotidien deviennent souvent insurmontables lorsqu’on ne peut pas s’exprimer dans la langue locale. Aller chez le coiffeur, par exemple.

– Des talents d’acteur

Parce que même quand on maîtrise les bases de la langue du pays, vient forcément un moment où ça n’est plus suffisant et où la situation exige de nous des talents dignes du Cours Florent.

– Une fibre artistique

Parce que ces talents de mime ou de dessinateur·rice, pourtant bien cachés, n’attendent que d’être révélés. Et croyez-nous, l’être humain est capable de déployer des trésors d’ingéniosité pour s’exprimer lorsque les mots viennent à manquer.

– Un sourire ravageur

Parce qu’un sourire permet de se sortir de n’importe quelle mauvaise passe ; et tant pis pour l’air un peu bête qui en découle (surtout lorsque la situation exige que l’on réponde à une question, par exemple).

– … et un bon prof de langues !

Parce que finalement, le meilleur moyen de survivre dans un pays dont on ne parle pas la langue, c’est encore d’en apprendre (au minimum) les bases. Si vous avez besoin d’un bon prof, d’ailleurs, on en connaît un très chouette qui tient dans la poche et qui vous suivra partout !

Parlez les langues comme vous en avez toujours rêvé
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