Comment progresser rapidement en langues grâce à cette application ?

Vous n’avez jamais été doué pour les langues étrangères, vous rougissez dès que vous prenez la parole, vous avez honte de votre accent ? Les cours de langues au collège et au lycée vous ont peut-être laissé un mauvais souvenir. Il est temps de passer à autre chose.

Tôt ou tard, nous sommes tous amenés à pratiquer une langue étrangère, que ce soit en voyage ou simplement parce qu’un touriste perdu veut nous demander son chemin. Plutôt que de répondre systématiquement « Désolé, je ne parle pas anglais », pourquoi ne pas s’attaquer à la racine du problème ? Ce qui vous a sûrement manqué pendant vos années d’apprentissage, c’est le plaisir d’apprendre. Rassurez-vous, chez Babbel, on en tient compte. Notre devise : apprendre en s’amusant est la clé de la réussite, autrement dit learning makes fun! (il faut bien commencer quelque part !). D’ailleurs si ce n’était pas le cas, jamais Stefano, Ed et Alberto ne se seraient lancés dans notre défi d’apprendre le français en une semaine. Impossible, direz-vous ? Impossible n’est pas français.

Mais ça ne suffit pas de le dire, il faut aussi le prouver. C’est pour cela que Babbel a participé à une étude menée par des chercheurs de la City University of New York (CUNY). Le but : évaluer quel niveau d’espagnol des débutants atteindraient en deux mois avec l’application. En parallèle (et parce que nous sommes les premiers à devoir montrer l’exemple !), trois collègues ont participé à notre défi français. Résultats : 37 leçons accomplies, 169 nouveaux mots de vocabulaire appris, quatorze chèvres chauds, deux quiches, une mousse au chocolat et environ 532 mentions de l’expression « C’est de la balle » (Stefano étant seul concurrent sur ce créneau, il est aussi logiquement détenteur du record). Le tout pour une vidéo en deux épisodes et un résultat plutôt impressionnant.

Une comparaison entre le challenge français et l’étude CUNY livre des conclusions édifiantes, dont les 5 que voici.

Résultat n°1 : Des progrès rapides, même en partant de zéro

Étude CUNY

Les personnes choisies par les chercheurs étaient séparées en deux groupes. 85 % des participants n’avaient encore jamais appris cette langue. Les 15 % restants avaient déjà quelques notions rudimentaires. Le premier groupe, celui des grands débutants, est celui qui a fait le plus de progrès, obtenant des résultats trois fois supérieurs à ceux du deuxième groupe lors des tests finaux.

Challenge Babbel

Nos trois Babbeloniens étaient complètement novices, mis à part Ed qui avait suivi à l’école quelques cours de français (dont il n’avait gardé qu’un vague souvenir et, disons-le, un profond dégoût). Alberto était le plus inquiet à l’idée du challenge. Il avait déjà eu des déboires avec la prononciation et son manque de confiance était palpable. Mais il s’en est très bien sorti ! Dans l’interview finale, dans laquelle chacun raconte en quelques mots ses impressions devant la caméra, on le retrouve détendu, confiant et enthousiaste de son expérience.

Résultat n°2 : Quelques heures par semaine suffisent pour être capable d’avoir une conversation

Étude CUNY

L’étude CUNY conclut que deux heures par semaine en moyenne pendant deux mois suffisent à atteindre un niveau d’espagnol équivalent à celui qu’on a après un semestre de cours à l’université. Là encore, les débutants complets ont obtenu de meilleurs résultats que les autres : quinze heures d’apprentissage au total pendant deux mois leur ont suffi pour atteindre ce niveau.

 

Challenge Babbel

Ed, le mieux organisé (et le plus motivé) est aussi celui qui nous a le plus épatés. Au bout de quelques jours, il montrait déjà une certaine aisance dans la conversation avec ses collègues français, s’exprimait presque sans faire de fautes et comprenait à peu près tout. Impressionnant, non ?

Résultat n°3 : Il est possible d’apprendre en deux mois seulement

Étude CUNY

On connait tous ce problème : sept ans de cours d’allemand à l’école et à la sortie, on est encore incapable de commander au restaurant. À l’inverse, les participants à l’étude CUNY se sentaient suffisamment confiants pour avoir une conversation de base au bout de seulement 60 jours. La fréquence et la constance ainsi que la contextualisation de ce qu’on apprend semblent être des facteurs plus importants que la durée de l’apprentissage lui-même. Une mise en situation de la langue par le biais d’exemples tirés de la vie quotidienne est mieux à même de donner des résultats rapides et applicables sur place, par exemple en voyage. Quelques minutes par jour suffisent alors pour de rapides progrès.

Challenge Babbel

Nos trois concurrents disposaient de sept jours pour apprendre, dont deux consacrés à des cours intensifs avec un professeur particulier. La semaine s’achevait par un grand dîner, venant couronner les efforts des participants. Dans cette optique, les trois Babbeloniens s’étaient concentrés sur le thème de la cuisine. Lors du repas final, Stefano, Ed et Alberto ont montré que même avec un niveau de base, ils étaient déjà capables d’avoir une conversation simple avec leurs collègues francophones, ce qui s’est vu surtout au moment de la préparation du dîner. Les trois profs n’ont d’ailleurs pas lésiné sur les compliments. Hypothèse vérifiée !

 

Résultat n°4 : Le plaisir est la clé de la réussite

Étude CUNY

99 % des participants à l’étude ont affirmés qu’ils souhaitaient poursuivre l’apprentissage de l’espagnol après l’expérience. Quelles sont les raisons de cet enthousiasme ? Certainement les progrès tangibles accomplis en si peu de temps, une des clés pour rester motivé.

Challenge Babbel

Qu’on soit fou de sport, intrigué par les expressions idiomatiques, curieux de cuisine ou obsédé par les nombres (comme pour Stefano – chacun son choix…), Babbel permet de choisir des cours adaptés à ses propres centres d’intérêt. Des leçons sur mesure pour un vrai plaisir !

Résultat n°5 : Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ?

Étude CUNY

Une écrasante majorité des participants a jugé l’application Babbel facile à utiliser (entre 92% et 95%). Mais surtout, la même proportion a affirmé qu’ils « avaient eu un plaisir réel à étudier », confirmant l’adage selon lequel on peut parfaitement joindre l’utile à l’agréable.

Challenge Babbel

Il suffit de voir avec quel élan Stefano s’exprime dès qu’il en a l’occasion, ou de regarder avec quelle ardeur nos trois concurrents s’essaient au jeu des devinettes en français, pour se convaincre du fait qu’apprendre une langue n’a pas besoin d’être ennuyeux et rebutant pour être efficace. Bien au contraire !

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Marion Maurin

Avec une mère allemande venue s’installer en France à 21 ans, naturalisée quelques années plus tard et qui a élevé ses enfants en français, les origines germaniques de Marion étaient bien enfouies. Alors à 21 ans, elle a pris le chemin inverse et est venue s’installer en Allemagne pour y poursuivre ses études de philosophie. Elle travaille aujourd’hui comme traductrice indépendante.

Avec une mère allemande venue s’installer en France à 21 ans, naturalisée quelques années plus tard et qui a élevé ses enfants en français, les origines germaniques de Marion étaient bien enfouies. Alors à 21 ans, elle a pris le chemin inverse et est venue s’installer en Allemagne pour y poursuivre ses études de philosophie. Elle travaille aujourd’hui comme traductrice indépendante.